Ces orages-là - Sandrine Collette

Sandrine Collette nous embarque dans l’univers des relations toxiques, de l’emprise, du traumatisme qui en découle, le long cheminement de la reconstruction.

Thème, Ô combien, visité! Pourtant Sandrine Collette nous plonge par son style dans les abîmes de Clémence.

Avec brio l'auteur, nous décrit pas à pas l’emprise de Thomas sur Clémence, ces déviances sans violences physiques, la maîtrise par la peur, l’humiliation, vivre entre le chaud et le froid, qui crée la perte totale de son identité.

J’ai trouvé le rythme lent mais comme la reconstruction de Clémence. et une écriture, un style qui pointe ses pensées, ses souffrances, le manque de son bourreau. Et pourtant on sent une force en elle, la force d’avoir supporter, la force de fuir, la force de vivre.

Ce roman, pour moi, pose la question de la prédestination à devenir une proie de ce type d’individu. Clémence par ce qu’elle est, enfant surdoué qui le cache pour obtenir une enfance/adolescence disons presque “normale”, un traumatisme lié à l’enfance, est-elle une proie facile à manipuler, à soumettre à volonté?

Elle pose aussi la Grande question de l’emprise, du “pourquoi reste-t-elle?” ou “pourquoi y retourne-t-elle?”

Vous avez 4h 😁 

Comme à son habitude Sandrine Collette m’a conquis, happé, elle sait manipuler les mots pour que la tension monte au fil des pages, un twist final tout en excellence.

Et vous l’avez-vous lu? Qu’en pensez-vous?

Résumé

Pervers, toxique, malsain, manipulateur : voilà les mots qui caractérisent le mieux Thomas.

Et pourtant lorsque Manon parle pour première fois de lui à sa cousine Clémence, elle est sûre que ces deux-là vont s’accorder parfaitement et que Clémence pourrait connaître le bonheur aux côtés de cet homme. 


L’adage selon lequel on ne connaît jamais parfaitement une personne s’illustre parfaitement ici. Clémence va être muselée, se faire constamment rabaisser par Thomas, réduite à rester dans une cage dorée pour que son bourreau ne perde jamais l’emprise sur elle.


Mais un jour, l’oiseau tente de fuir le nid et de se reconstruire. Clémence laisse derrière elle sa vie, son travail, elle s’enfuit sans se retourner. Mais cette décision, salutaire, déclenche une véritable traque, identique à celle entre un chasseur et sa proie. Cours, Clémence, cours encore et toujours, ne regarde pas derrière toi… 


Sandrine Collette :

Sandrine Collette est une romancière française. 

Bac littéraire puis Master en philosophie et un doctorat en science politique.
Elle devient chargée de cours à l'Université de Nanterre, travaille à mi-temps comme
consultante dans un bureau de conseil en ressources humaines et restaure des maisons
en Champagne puis dans le Morvan.

Elle décide de composer une fiction et adresse son manuscrit aux éditions Denoël.
Il s’agit "Des nœuds d'acier", publié en 2013. Son premier roman  rencontre un vif succès
critique et public avec 20 000 exemplaires vendus.
Il obtient le "Grand Prix de littérature policière" ainsi que le "Prix littéraire des lycéens et
apprentis de Bourgogne".

En 2014, elle publie son second roman "Un vent de cendres" (chez Denoël) qui revisite le conte
"La Belle et la Bête". 

Devenue l'un des grands noms du thriller français, une fois encore, elle montre son savoir-faire
imparable dans "Six fourmis blanches" (2015).

"Il reste la poussière" (2016) obtient le Prix Landerneau du polar.
En 2017 paraît "Les larmes noires sur la terre". 

Son huitième roman, "Et toujours les forêts", une fiction post-apocalyptique, a été récompensé,
en 2020, par le prix de La Closerie des Lilas, le prix Amerigo Vespucci 2020
et le grand prix RTL-Lire.

Sandrine Collette partage son temps entre la région parisienne et son élevage de chevaux
dans le Morvan.
page Facebook : https://www.facebook.com/Sandrine-Collette-431162406968932/
(Source Babelio)


V13 d'Emmanue Carrère


Fascinant, poignant! Le sujet abordé ne me permet pas de parler de coup de cœur 😉
Le talent d'Emmanuel Carrière dans toute sa splendeur!
Un devoir de mémoire pour se souvenir de ce fameux vendredi 13 Novembre à travers le témoignage des victimes, d'essayer de comprendre ce passage dans l'horreur.
Emmanuel Carrère a su avec simplicité nous expliquer le fonctionnement de ce procès hors normes, sa complexité. Je n'ose imaginer la charge émotionnelle lors des témoignages des victimes, et pourtant il a su les retranscrire avec humanité et dignité.
La partie consacrée aux accusés, je l'attendais, ayant peu suivi le procès.
Cette partie est dense et vide à la fois. Dense parce que nous découvrons le parcours des protagonistes principaux. Et pendant ce récit, j'ai en tête le roman de Yasmina Khadra, Khalil, tellement de point de convergence, l'un m'a permis de mieux comprendre l'autre. 
Vide, puisqu'à la fin, je me suis dit tout ça pour ça, si peu d'explication pour comprendre leur geste, une certaine frustration pour ma part. Parfois j'ai ressenti de la colère face aux comportements de certains accusés.
Ces chroniques sont incontournables,  Emmanuel Carrère nous livre une profonde réflexion sur des sujets liés à ces attentats, le sort des enfants des djadistes partis en Syrie, ses familles impuissantes face à la radicalisation de leur enfant, ce magnifique lien entre 2 pères que tout aurait du opposer, le processus d'indemnisation des victimes, entre autre.
Voilà fascinant, et forcément émouvant, je pense aux victimes qui ont pu s'exprimer... et enfin la justice a été rendue.

Et vous l'avez-vous lu? Qu'en pensez-vous?

Un p'tit résumé
Le procès fleuve des attentats du 13 Novembre 2015, qui ont fait 130 morts et 350 blessés à Saint-Denis et à Paris, s'est tenu entre septembre 2021 et juin 2022. Pendant dix mois, plus de 300 témoins ont été entendus, dont des rescapés de cette nuit d'horreur. Les 20 accusés ont été jugés. Parmi eux, Salah Abdeslam, le seul survivant des commandos de l'organisation du groupe État islamique, commanditaire de ces attaques. Emmanuel Carrère a assisté à l'intégralité du procès et tenu une exceptionnelle chronique hebdomadaire, publiée dans 4 grands journaux européens, L'Obs en France, El País en Espagne, La Repubblica en Italie, Le Temps en Suisse.
V13 (« comme tous, magistrats, avocats, journalistes, appelons ce monstrueux procès du vendredi 13 novembre dans lequel nous sommes embarqués », écrit E. Carrère) rassemble l'ensemble de ces chroniques. C'est une descente aux enfers dans laquelle l'écrivain parvient toujours à saisir l'humanité des uns et des autres, qu'elle soit bouleversante, admirable, ou abjecte. Il saisit l'ironie terrible des propos, des situations. Il refait le récit des événements, et surtout livre son écoute magnifique des paroles et des silences de ce procès. Il en fait notre histoire. Il donne à cet écheveau complexe d'horreur, d'idéologie, de folie et de détresse, une dimension universelle, profondément humaine, qui atteint chacun d'entre nous : « Marylin porte toujours sur elle, dans un petit tube en plastique, l'écrou de 18 mm qu'on a extrait de sa joue. Elle le sort de son sac, ce tube, devant la Cour. Elle dit : Je veux bien vous le montrer, mais je le garde. Elle le remet dans son sac et elle repart avec, et 250 autres témoignages vont déferler après et écraser le sien, mais quand même, Marylin qui s'éloigne, seule, gracieuse et triste, tellement triste, avec son écrou dans son tube, je ne l'oublierai pas. »

Un p'tit mot sur l'auteur
Emmanuel Carrère est un écrivain, journaliste, scénariste et réalisateur français.

Ancien élève de Janson-de-Sailly et diplômé de l'Institut d'études politiques de Paris, descendant d'une lignée de princes russes où l'on a même compté un éphémère roi d'Albanie, il est le fils de Louis Édouard Carrère et de la soviétologue et académicienne Hélène Carrère d'Encausse, et le frère de Nathalie Carrère et de Marina Carrère d'Encausse.

Emmanuel Carrère est l'auteur de plusieurs scénarios, d'une biographie de Philip K. Dick et de nombreux romans dont "La moustache", "La classe de neige", et "L'Adversaire", les deux derniers ayant été adaptés pour le cinéma respectivement par Claude Miller et Nicole Garcia et sélectionnés en compétition officielle au Festival de Cannes.
"Retour à Koltelnitch" (2004) est son premier film en tant que réalisateur. Son dernier film, "La moustache", avec Vincent Lindon et Emmanuelle Devos, est sorti en 2005.

L'Adversaire, écrit autour de l'affaire Jean-Claude Romand, qui a défrayé la chronique au début des années 90, marque un changement dans sa production littéraire. Il n'a pas depuis écrit de pure fiction. "Un roman russe" publié en 2007 ménage une place prépondérante aux habitants de Kotelnitch, Anya, Sacha et tous les autres ... sans oublier Toma Andras, le malheureux hongrois, dont la vie s'est perdue durant presque 50 ans après la guerre dans l'hôpital psychiatrique de Kotelnitch.  Dans "d'autres vies que la mienne" (2009) il évoque l'existence marquée par le drame de personnes qu'il a rencontrées au cours de sa vie.

En 2011, "Limonov", une biographie romancée de l'écrivain, dissident et homme politique russe, a reçu le prix Renaudot. En 2014, "Le Royaume" qui raconte l’histoire des débuts de la chrétienté, vers la fin du Ier siècle après Jésus Christ, obtient le prix littéraire du Monde. 

En 2018, Emmanuel Carrère obtient le prix de la Bibliothèque Nationale de France (BNF).
(Source Babelio) 

Janvier au coin d'un feu

Un mois de Janvier intense avec 3 coups de cœurs sur des thèmes différents. 🥰
Vous devinez lesquels? 😁

Premier Sang - Amélie Nothomb

Salon de Brive, une rencontre et dédicace avec Amélie Nothomb et hop plongeon dans ce nouveau roman. 📚

Et quel plaisir de retrouver cet auteur ! 🥰

Premier sang est sans contexte un très bel hommage à son père. Encore une fois écrit à la 1ere personne, elle s’est glissée dans la peau de son père, avec humour et délicatesse. Une enfance entre 2 mondes, protecteur avec ses grand-parents maternelle et dur dans la famille paternelle Les Nothomb, Aristocrate sans le sou, où le précepte des femmes et des enfants d’abord est obsolète, des enfants livrés à eux-mêmes, la loi du plus fort prévaut. Ces périodes de l’enfance racontées avec ce zeste de fantaisie et d’humour qui caractérise Amélie Nothomb, a retiré tout le côté sordide de la situation, pour en extraire une force qui servira l’adulte que deviendra son père.

Cette force se déploie lorsque qu’il devient diplomate belge au Congo, pris en otage à Stanleyville, avec ses talents d’orateur, des vies sauvées malgré un malaise certain à la vue du sang.

J’ai aimé ce roman, cette tranche de vie au travers d’événement historique, ce petit garçon, poignant face à une mère si peu aimante, pétillant … Ce jeune homme face à l’adversité.

Un bel hommage, un beau roman court mais efficace, une plume et un style qui me ravissent à chaque fois.

Et vous l'avez-vous lu? 😍


Un p'tit résumé
« Il ne faut pas sous-estimer la rage de survivre. »
Sous la forme d’un conte, Amélie Nothomb raconte la vie de Patrick, son père, doux enfant angélique qui, jeune adulte, devra se confronter à la mort.
Un magnifique hommage à la figure paternelle mais aussi à un héros de l’ombre, diplomate à la carrière hors norme.

Un mot sur l'auteur
Amélie Nothomb, nom de plume de Fabienne Claire Nothomb, est une romancière belge d'expression française.
Elle est fille de l'ambassadeur de Belgique à Rome, et petite-nièce de l'homme politique Charles-Ferdinand Nothomb.
Amélie Nothomb passe ses cinq premières années au Japon, dont elle restera profondément marquée, allant jusqu'à parler couramment japonais et même à devenir interprète par la suite. Mais son expérience ne s'arrête pas là puisqu'elle vivra successivement en Chine, à New York, au Bangladesh, en Birmanie et au Laos, avant de débarquer à dix-sept ans sur le sol de Belgique, berceau de sa famille où elle obtient une licence en philologie romane à l'Université libre de Bruxelles, et envisage un moment la carrière d'enseignante, passant et obtenant l'agrégation.
Elle écrit depuis ses dix-sept ans. Elle avoue avoir déjà écrit plus d'une centaine de romans. L'écrivain garde rangés dans un carton différents manuscrits qu'elle se refuse à publier, les estimant trop personnels.
C'est en 1992, alors âgée de vingt-cinq ans, qu'elle fait son entrée fracassante dans le monde des lettres avec son roman "Hygiène de l'assassin." Elle enchaîne depuis les succès publics avec bientôt trente publications.
Amélie Nothomb a été définitivement consacrée en 1999 alors que "Stupeur et Tremblements" a été couronné du Grand Prix de l'Académie française et s'est vendu à 385 000 exemplaires. Ses romans sont depuis traduits en une quarantaine de langues.
Elle a également obtenu par deux fois le prix du jury Jean Giono, le prix Alain Fournier et, très connue en Italie, il premio Chianciano.
En 2021, elle reçoit le prix Renaudot pour "Premier sang".
Elle est encore actuellement domiciliée à Bruxelles mais voyage beaucoup de ville en ville afin de rencontrer ses lecteurs.
Auteure extrêmement prolifique, Amélie Nothomb publie traditionnellement un livre par an depuis 24 ans, chaque année vers le mois de septembre.
Source Babelio

Rejouis-toi Jerusalem - Alain Paraillous


 Auteur du Lot et Garonne


Partons à la découverte d'un auteur de chez moi, et oui nos régions ont du talent 😃 ... Premier roman pour moi à l'occasion d'une lecture commune à la bibliothèque. 

Je tourne autour depuis un petit moment avec ce roman a deux facettes, vous l'aurez compris un ressenti assez mitigé. 

Je reconnais à l'auteur une qualité indéniable pour la narration historique. Je me suis complètement immergée auprès de la cour d'Aliénor, Richard, Jeanne pendant la période d'une des croisades. Ce que j'aime dans les romans historiques, c'est les petites histoires dans la grande histoire.  Nous vivons une époque où tout est si rapide, que le rythme lent des préparatifs de la croisade contre Saladin, celui des déplacements m'a surprise et enchantée. Les conséquences du recrutement des combattants sur la vie quotidienne a été désastreuse, les hommes partants, qui pour s'occuper des champs, des commerces, les constructions.
Intéressant aussi les relations avec le Moyen Orient, cette vision des occidents d'un monde "barbare" pourtant si cultivé, une "Terre Sainte" si convoitée. Mais quoi de mieux qu'une guerre pour gérer une période de crise. 
L'auteur, là aussi j'ai été un peu surprise, relie l'actualité terroriste à ces guerres incessantes. Une certaine curiosité m'a prise, m'a poussé à faire des recherches un peu plus approfondies sur ces croisades, sur la vie de Jeanne aussi, peu connu d'ailleurs.

Alors et ce côté mitigé? Jeanne et son escapade avec ce jeune bâtisseur (petit clin d'oeil à Ken Follett), une romance avec le frère de Saladin, le récit, les dialogues ne m'ont pas convaincus, les émotions n'étaient pas au rendez-vous.

Je pense malgré tout que c'est un auteur à découvrir, il a cette connaissance historique qui me fascine, et d'autres lectrices que j'ai le plaisir de connaitre se plongent avec plaisir dans ces romans.

Et vous l'avez lu? Dites moi tout.
 
Un p'tit résumé
Dernière fille d'Aliénor d'Aquitaine et d'Henri II Plantagenêt, Jeanne a hérité du caractère bien trempé de sa mère. Refusant les mariages de raison qu'on lui propose, elle est mise en pension chez les moniales de Fontevrault où ses retrouvailles avec un jeune sculpteur déjà rencontré en Angleterre vont bouleverser son destin. Mais le déclenchement de la IIIe croisade l'oblige à quitter la France pour la conduire en Sicile, puis jusqu'en Terre Sainte aux côtés de son frère, le futur Richard Coeur de lion.
Là-bas, malgré des périodes d'accalmie, l'affrontement entre chrétiens et musulmans dure depuis plus d'un siècle. Pour chaque camp, Jérusalem est la cité de Dieu, et les luttes se révèlent sans merci. Une union entre Jeanne et Malik-Al-Adhil, le propre frère de Saladin, sera-t-elle de nature à apporter enfin l'apaisement ?

Un mot sur l'auteur :
Alain Paraillous est né à Saint-Pierre-de-Buzet, le 5 janvier 1947, dans la maison même qu'il habite aujourd'hui, et où tous ses aïeux sont nés avant lui.
Après une maîtrise de lettres et un diplôme de journalisme, puis trois années d'enseignement à Agen, Marmande et Bordeaux, il obtint un poste de professeur de lettres au lycée d'Aiguillon, poste qu'il occupa tout le restant de sa carrière.
En 1996, il a créé le Musée de l'école rurale d'autrefois dans l'ancienne école de Saint-Pierre-de-Buzet 47.
(Source Babelio)





Les prisonniers de la liberté de Luca Di Fulvio


 Les prisonniers de la liberté fait parti de ces romans, qui bouleverse, qui vous prend au tripe. 

Après Le gang des rêves, j'ai retrouvé la puissance d'une grande fresque sociétale, cette fébrilité a tourné les pages avec des papillons d'émotions à travers des personnages si forts. 

Nous sommes en 1913, à travers 3 personnages, Luca Di Fulvio nous décrit la vie à Buenos Aires la ville de toutes les attentes pour certains, l'air d'un renouveau, et le désenchantement qui suit.

Une ville en pleine expansion, dirigée par la pègre, mafia italienne ou juive, de main de maitre, qui profite aisément de la misère humaine. ces bidonvilles où la violence est reine, avec ses codes, et chacun essayent de s'en sortir comme il peut. 

Une société d'homme, qui va chercher/enlever des jeunes filles à peine pubères  en promettant une vie meilleure partout en Europe pour alimenter leur bordels avec des conditions de vie inhumaines, cruelles, violentes. Juste de la chair! 😕 

A travers les voix de Raechel et Rosetta, l'auteur dénonce la condition de la femme, en ce siècle dernier. Le peu ou pas de choix, les interdits, une soumission subit aux hommes. 

Mais Luca Di Fulvio nous montre aussi une grande humanité dans ce roman, de la bienveillance, de l'entraide, et beaucoup d'amour. Ce coup de foudre inconditionnelle entre un homme et une femme, mais aussi l'amour fraternelle, paternelle.

Notre cœur palpite, au gré de cette lueur qui brille, plein d'espoir, dans ces personnages, à la recherche de la liberté ... Un combat qu'ils mèneront jusqu'au bout!

Un roman captivant, vous l'aurez compris un véritable coup de cœur! 💖


Un p'tit Résumé

1913, trois jeunes gens embarquent pour l’Argentine. La rebelle Rosetta fuit son village italien. A la mort de ses parents, harcelée, elle n’a eu d’autre choix que d’abandonner sa ferme. Rocco, fier et fougueux jeune homme, laisse derrière lui sa Sicile natale. Il refuse de se soumettre à la Mafia locale. Raechel, petite juive russe, a vu sa famille décimée dans un pogrom. Elle n’emporte avec elle que le souvenir de son père. Le nouveau monde les réunira.


Octobre ... un été indien plein de couleurs

 Un roman apocalyptique avec Chaos, Une saga fantasy Les légendes perdues d'Aëgan, Avec zeste de fantastique/thriller pour Salamanca 👀 ... 

Un peu de frisson en ce mois d'Octobre.😱

De la douceur avec une belle histoire Les sept soeurs ... 

Une histoire de femme, de famille, bouleversantes, Un tesson d'éternité.

Mais mon cœur a vibré, chaviré avec Les prisonniers de la liberté de Luca Di Fulvio. ... un coup de cœur 💖

Je cherche .... je trouve